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La guéguerre n'est pas déclarée

Dernière mise à jour : 11 déc. 2022

Je fais l'objet (moi, Jean-Luc Wertenschlag) d'attaques et d'accusations sur les réseaux sociaux. Je refuse de rentrer dans ce jeu destructeur. Et je m'en explique.


Depuis la nuit des temps, de magnifiques projets échouent par la faute de divisions intestines, d'ego démesurés et d'absence de conscience politique au service du collectif. Je ne participerai jamais à ces destructions programmées.


Certains représentants d'une structure associative m'accusent de tous les maux. Je refuse de polémiquer sur la place publique, car cela aurait pour principale conséquence de répandre le fiel le plus largement possible sur la toile. Je poste seulement cette explication sur mon blog que personne ne lit.

  • Il a pris ça, il a dit ceci, il a pensé cela !

  • [JLW] Certes, mais j'ai avancé personnellement de l'argent pour un projet pour lequel j'ai obtenu 10 000 € de subvention pour la structure et ils refusent de me rembourser 1248,53 € alors qu'ils ont bien encaissé la subvention

  • C'est pas vrai ! C'est lui qui nous doit des sous ! En plus il n'a pas rendu les clefs !

  • (...)

On peut durer longtemps comme ça. Je ne vois pas l'intérêt de la chose. Plutôt qu'un déballage public sans fin, je suis ouvert à une vraie discussion, par écrit ou plutôt en face-à-face, afin de régler les malentendus existants. La polémique en ligne ne génère que haine et tristesse, et met longtemps à s'éteindre, croyez-en mon expérience d'ancien combattant. Quand on n'est pas d'accord et qu'on veut trouver une solution, on discute, on ne met pas le feu en ligne. Je suis donc prêt à rencontrer quiconque m'accuse et à répondre point par point à toutes les questions, ma porte est grande ouverte.


Et quoi qu'il en soit, de mon côté, jamais je ne dirai du mal d'une association que j'ai créée, présidée et dirigée de nombreuses années. Plus on est de fous plus on rit. Plus de voix alternatives s'expriment, mieux se porte notre démocratie.


Une façon assez extraordinaire de tenter de travestir la vérité est de mettre en doute ma légitimité à relancer WNE. Il suffit pourtant de regarder les faits en face pour se rendre compte de la réalité. Je milite pour la culture, les associations, les projets un peu fous à Mulhouse depuis 1986, je fais de la radio depuis 1989, j'ai créé une Sàrl avec Couleur 3 pour (ne pas) obtenir de fréquence FM dans les années 90, j'ai demandé vers 1994 à Radio Dreyeckland de ne pas détruire sa fréquence associative au profit d'une société commerciale (perdu !), j'ai créé (pas tout seul bien sûr) Radio WNE en l'an 2000, d'ailleurs je suis toujours président de l'association WNE dont le siège social est dans ma cuisine. Dans la foulée de cette réécriture alternative de l'histoire, on pourrait dire que je n'ai pas créé le Noumatrouff en 1992, que je n'ai pas lancé les premiers ateliers d'éducation aux médias d'Alsace en 2005, que je n'ai pas créé Radio MNE en 2010 et que l'assemblée générale constitutive de l'association motoco n'a pas eu lieu dans mon salon en 2013. D'ailleurs, Michèle Lutz est-elle vraiment maire de Mulhouse ?


Bref, malgré mon incompréhension des attaques dont je fais l'objet, je reste persuadé que tout reste possible. Et que dialoguer est toujours la meilleure solution. Alors, on se voit quand ?


Solidairement,

Jean-Luc Wertenschlag


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